Quand je pense à la vieille anglaise | Il n'y a plus de pauvres en France, |
Qu'on appelait le ?Queen Mary?, | Scandait l'honnête Balkany |
Echouée si loin de ses falaises | Pour eux, c'est tous les jours dimanche |
Sur un quai de Californie, | Et la rue la Californie |
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Quand je pense à la vieille anglaise, | Tous ont accès aux soins en France |
J'envie les épaves englouties, | C'est Xavier Bertrand qui le dit |
Longs courriers qui cherchaient un rêve | Faites-lui gentiment confiance |
Et n'ont pas revu leur pays. | Et si ce n'est pas vrai, tant pis |
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Ne m'appelez plus jamais ?France?. | L'UMP nie les évidences |
La France elle m'a laissé tomber. | Pour lui, les faits ne comptent pas |
Ne m'appelez plus jamais ?France?. | Avec lui, chantez en cadence : |
C'est ma dernière volonté. | Par pitié, reste, Nicolas ! |
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J'étais un bateau gigantesque | Quatre ans de pouvoir ubuesque |
Capable de croiser mille ans. | N'enrichissant que ses clients |
J'étais un géant, j'étais presque | Creusent des dettes gigantesques |
Presqu'aussi fort que l'océan. | Du seul fait de ce président |
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J'étais un bateau gigantesque. | Quatre ans de pouvoir ubuesque |
J'emportais des milliers d'amants. | Ont mis à mal les pauvres gens |
J'étais la France. Qu'est-ce qu'il en reste ? | Et ses représentants clownesques |
Un corps-mort pour des cormorans. | Qui vous sourient en vous mentant |
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Ne m'appelez plus jamais ?France?. | L'UMP nie les évidences |
La France elle m'a laissé tomber. | Pour lui, les faits ne comptent pas |
Ne m'appelez plus jamais ?France?. | Avec lui, chantez en cadence : |
C'est ma dernière volonté. | Par pitié, reste, Nicolas ! |
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Quand je pense à la vieille anglaise | Je vois, j'entends les pitoyables |
Qu'on appelait le ?Queen Mary?, | Chantres de la mauvaise foi |
Je ne voudrais pas finir comme elle | Avec un culot incroyable |
Sur un quai de Californie. | Conter Il était une fois? |
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Que le plus grand navire de guerre | Croyez-vous au marchand de sable |
Ait le courage de me couler, | À Pimprenelle, à Nicolas |
Le cul tourné à Saint-Nazaire, | Leur pipeau me court sur le râble |
Pays breton où je suis né. | Il faut y mettre le hola ! |
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Ne m'appelez plus jamais ?France?. | L'UMP nie les évidences |
La France elle m'a laissé tomber. | Pour lui, les faits ne comptent pas |
Ne m'appelez plus jamais ?France?. | Avec lui, chantez en cadence : |
C'est ma dernière volonté. | Par pitié, reste, Nicolas ! |